dimanche 29 septembre 2013

Le ranch de Flicka de Mary O'Hara

Certes je mets des mois à lire un seul roman, je ne lis plus grand chose depuis quelques semaines mais pour autant, on ne peut pas dire que je ne lise plus du tout ... sauf qu'en fin de compte, je ne lis quasi rien de ce qui est dans ma Pàl et qui se résume à la SFFF ....
 L'idée m'a effleuré en lisant ce roman précisément dont je vais parler que je suis dans une phase de vie réelle et que j'ai probablement moins le besoin de m'évader par mes lectures de fantasy ou de SF. 

Un peu comme le petit Ken dans Mon amie Flicka, qui voulait sa pouliche à lui, rien qu'à lui, ce rêve est devenu réalité alors moins besoin d'imaginer, de partir dans des pensées éloignées du quotidien. C'est que lorsque celui-ci devient plus exaltant, plus passionnant, on ressent moins le besoin de s'évader. Pour autant c'est probablement une phase, le temps de trouver un nouvel équilibre, plus de temps aussi parce que une nouvelle passion dans ma vie déjà bien chargée il est certain que c'est chronophage.

Ceci pour l'introduction, car j'ai eu l'envie irrépressible de relire une fois de plus l'excellente série de Mary O'Hara, cette fois-ci sans l'idée de me dire "ah si moi aussi j'avais..." mais avec la sensation que" moi aussi enfin j'ai !", avec l'envie de consacrer ce rêve d'enfance que à la manière de Ken Mc Laughling j'ai enfin réalisé aussi et de voir ce que cela fait de relire ces livres qui m'ont mainte et mainte fois transportées à l'époque !
(Eh bien même en ayant désormais ma petite Flicka à moi, je suis toujours autant sous le charme).

Lorsque j'avais relu et chroniqué cette série début 202 j'avais arrêté après L'herbe verte du Wyoming qui signe la fin de la trilogie de l'histoire de Ken et de sa pouliche Flicka. La raison en est simple : lorsque j'étais enfant et que j'avais tellement adoré cette trilogie, j'avais été cruellement été déçue de découvrir que Le ranch de Flicka n'était en réalité pas la suite des aventures des romans précédents mais un récit autobiographique de l'auteure Mary O'Hara, et à cette époque je n'avais pas accroché du tout.
Depuis je l'ai relu aussi comme les autres, puis encore cette fois-ci, à la différence que je vais le chroniquer enfin.

Le Ranch de Flicka est donc l'histoire, enfin une partie de l'histoire de Mary O'Hara, musicienne, écrivain de nouvelles et de romans .... basée sur sa vie lorsqu'elle est partie vivre dans le Wyoming après son deuxième mariage. Son récit se tient en fait sur une année mais est émaillé de moments de souvenirs, de son enfance ou de moments plus récents de sa vie d'adulte ou encore de sa carrière musicale, de sa passion des notes et des mots, ou de l'accueil fait à ces jeunes qui passent leurs étés auprès d'elle et de son mari pour vivre une vie de rancher (des jeunes qui nous deviennent vite attachants) ..... C'est en lisant ce récit que l'on comprend tout ce qui a pu imprégner sa trilogie .... la vie au ranch, ses relations aux animaux, surtout aux chevaux, leurs histoires qui ont amené l'imagination de l'auteure à écrire Mon amie Flicka .... On retrouve un peu partout cette empreinte de l'histoire à venir ..... Sans que cela fasse pour autant la trame essentielle non plus. J'ai plus envie de dire que celle-ci est consacrée à la musique, au piano et à la création de ses oeuvres : opérettes, pièces pour enfants, danses .....
Dans la série des Flicka, Nell, la mère des enfants, jouait du piano, celui-ci faisait partie intégrante de l'histoire même s'il ne fit son apparition que dans le troisième tome .... On comprend pourquoi en parcourant Le Ranch de Flicka .... Mary O'Hara fut aussi compositeur et en dehors de son amour pour les chevaux, la musique tient une telle place dans sa vie qu'elle en devient le pôle presque central de sa vie autobiographique.

Pour le reste, même si le récit est assez décousu - il n'y a là pas de trame narrative mais des bribes de vie - passant de moments présents, à des retours en arrière, voire plus loin encore, pour reprendre le récit à d'autres instants et encore faire un petit bond en arrière puis en avant - cela a un côté déroutant qui me déplaisait fortement plus jeune mais qui m'a plus séduite actuellement car cela donne un côté vivant au récit : l'auteure ne raconte pas exactement son histoire, elle la vit au jour le jour tout au long de la partie de l'année qu'elle aura consacrée à raconter sa vie au ranch - on rentre à nouveau en plein dans la vie sauvage de l'Ouest des années 1920 : les luttes de ces hommes contre les éléments, pour tenir leurs exploitations et réaliser leurs rêves, les dangers de la vie dans ces contrées rudes et sauvages où chaque instant peut mettre fin à une vie. Mais aussi une vie ponctuée par une certaine douceur, symbolisée par le piano de l'auteure qui résonne à chaque page ainsi que de sa vision très poétique et philosophique des choses. Malgré sa rudesse, l'Ouest américain est une région sublime de nature et elle nous le fait bien percevoir.

"Le spectacle splendide était l'extraordinaire couche de neige fraîchement tombée sur les montagnes. Les montagnes Neigeuses, les montages du Neversummer. Les longues murailles ondoyantes, les pics s'élançant vers le ciel, et les vastes capuchons de nuages, qu'ils avaient rabattus sur leurs têtes. Et au-dessus, le bleu vif et profond."

J'ai toujours été touchée de manière générale par les récits autobiographiques, les découvrant depuis très jeune avec les yeux émerveillés de celle qui a la sensation que si elle racontait un jour sa propre vie, ce serait d'un tel ennui qu'elle-même ne pourrait pas se relire. Ce n'est pas cette sensation que j'ai lorsque je lis celle des autres .... mais n'est-ce pas parce qu'ils prennent lieu et vie dans un autre siècle, dans un passé révolu ? Un des seul récit autobiographique que j'ai lu ado, se passant dans mon siècle et mon quotidien était "Des cornichons au chocolat" et je ne l'avais pas trouvé passionnant, dans le sens "sa vie est exaltante" parce que le quotidien de cette jeune fille qui se racontait était trop proche du mien, donc moins intéressant.
Non, moi ce que j'aime ce sont les histoires du passé, la vie autrefois, les petites anecdotes que nous ne rencontrons plus aujourd'hui. Il serait intéressant de voir si dans 50 ans, des récits autobiographiques d'aujourd'hui seraient parcouru avec autant d'enthousiasme que ceux-là .... Peut-être par les générations n'ayant pas connu cette époque ?
Voilà en tout cas toutes les pensées qui m'ont parcourue en relisant ce Ranch de Flicka et au final, j'ai trouvé ce récit vraiment intéressant à lire ..... On dira qu'il comporte une fois de plus ce qui m'aura le plus marqué dans ma vie : les animaux et la musique, mettons les deux ensemble et vous faites de moi une lectrice ravie ^^

dimanche 22 septembre 2013

Orchéron de Pierre Bordage

"Plusieurs siècles se sont écoulée depuis l'atterrissage de l'Estérion. Les colons des origines sont devenus des légendes, certains des dieux. Orchéron, l'enfant trouvé, vit paisiblement son adolescence au sein d'un mathelle, sans autre prétention que de reprendre le métier de son père adoptif. Son avenir bascule lorsque les Protecteurs des sentiers décrètent sa mort, l'accusant d'appartenir à une lignée maudite. Pour survivre, le jeune homme n'a d'autre choix que de fuir aux confins de la grande plaine du Triangle. Course à travers l'espace, course à travers le temps ... Orchéron se découvre d'étranges et dangereux pouvoirs. Les Protecteurs des sentiers auraient-ils vu juste ?"

Etrange comme certaines quatrièmes de couverture sont réductrices ... En effet si l'on en croit celle-ci, on imaginerait aisément qu'Orchéron va être le principal personnage de cette suite d'Abzalon, et que surtout le récit va essentiellement le suivre. Il n'en est rien. Certes c'est un personnage important, mais le roman met en exergue bien d'autres tout aussi essentiels à l'histoire.
Tels Alma la jeune djemale devenue boiteuse suite à trop d'implication dans une des légendes qui régissent ce nouveau monde ou Ankrel l'apprenti lakchas, cette caste qui chasse les yonks, sorte de buffles sciences fictionnesques.

Ce monde sur lequel Abzalon et Ellula, ainsi que leurs compagnons, débarquent a évolué progressivement de siècles en siècles, recréant les mêmes travers que sur leur planète d'origine, au travers de légendes véhiculées par les anciens colons : les djemales honorent la mémoire de Djema et du Qval ; les Protecteurs des Sentiers -dit les Couilles-à-Masques-  glorifient Maran et se permettent toutes les exactions au nom de cette nouvelle religion.
Toutes ces destinées se déroulent de chapitres en chapitres, se croisant, se rejoignant jusqu'au dénouement final qui explique le pourquoi du comment de cette mystérieuse malédiction portée par Orchéron.

J'ai mis un mois à lire ce tome-ci .... En dehors du fait que depuis quelques semaines j'ai beaucoup de mal à lire, je crois que c'est surtout parce que malheureusement je n'ai vraiment pas accroché à cet Orchéron, pire je me suis ennuyée, je n'y ai pas trouvé d'intérêt. Inutile de revenir sur la froideur des personnages, je l'ai assez dit dans mon billet sur Abzalon mais au moins dans ce dernier, ils étaient assez percutants pour susciter l'envie de les suivre jusqu'au bout de leur histoire.

Là non, j'ai parcouru les pages parce que je voulais mettre au moins un deuxième livre au Challenge de Lhisbei mais sans grande conviction, lisant, abandonnant puis reprenant, en espérant peut-être que l'histoire m'intriguerait un peu plus au fil de l'histoire mais pas du tout ...
Je n'ai pas accroché du tout à cette société régressive et intolérante, coupée en castes aussi rigides que celles d'un Moyen Âge d'une nouvelle ère. De plus la vision des femmes est juste intolérable, en dehors de celles qui ont un nom dans l'histoire, les autres se bornent juste à être maltraitées ou violées.

Voilà donc un roman que je regrette presque d'avoir entamé, de plus la couverture est juste hideuse au possible.

Il fut lu dans le cadre du Challenge Summer Star War de Lhisbei .... in extrémis car demain c'est l'automne !

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mercredi 11 septembre 2013

Le château de Chantilly

La veille de notre visite au Musée des Arts et Métiers (oui je le cite une fois de plus histoire d'amener tout le monde à y aller ^^), nous étions, Tigger Lilly, une amie et moi, allées visiter le Château de Chantilly ainsi que son musée du cheval.

Evidemment le mot cheval est immédiat pour titiller mon intérêt, mais je ne m'attendais pas à tomber sous le charme de ce château bâti sur un rocher, entouré d'eau, construit du XIV au XIXè siècle par les familles d'Orgemont, de Montmorency, de Bourbon-Condé et d'Orléans.

J'ai trouvé ce château particulièrement beau, il me fait penser à ceux datant de la Renaissance avec un restant de Moyen Âge, peut-être par son côté particulièrement blanc, de plus il est à la fois somptueux mais sans être trop pompeux, d'extérieur comme d'intérieur. Il est bien moins rococo que les intérieurs du château de Versailles par exemple. Bon après il ne fut pas bâti pour les mêmes raisons non plus.

Il faut savoir que sa collection de peinture fait de lui l'un des premiers musées de toiles anciennes avec le Louvre. D'ailleurs c'était marrant comment étaient agencées ces peintures, dans le genre fouilli mais d'un autre côté, ce château donne plus l'impression d'avoir été habité que celui de Versailles.


Nous avons démarré notre visite par un petit clin d'oeil sur la Piste au Lions sur laquelle Tigger Lilly a pu chevaucher, puis par l'intérieur du château, bénéficiant même d'une visite guidée dans les petits appartements.
Ensuite direction le parc pour nous restaurer, passant ainsi devant un petit ruisseau tout à fait adapté à un univers de fantasy. Impossible de passer à côté de la chantilly lorsqu'on est au Château de Chantilly, si comme mes deux gourmandes de copines je n'ai pas succombé au foie gras, je me suis rattrapée sur le dessert .... Ah cette chantilly .... rien de comparable à celles qui servent partout ailleurs.



C'est bien lestées que nous sommes retournées au château pour visiter les écuries (des stalles et boxes sous des plafonds juste hallucinants par leur hauteur) et assister au spectacle équestre bien sympathique, plein d'humour avec même des ânes ! Dommage nous ne pouvions prendre des photos mais d'un autre côté cela m'a permis de m'en mettre plein les yeux sans me concentrer sur l'angoisse de prendre de mauvaises photos. J'aurais bien acheté le DVD du spectacle mais il était un peu trop cher !

Pour la petite histoire les Grandes Ecuries (et grandes elles le sont !) furent construites par l'architecte Jean Aubert à la demande de Louis-Henri Bourbon, septième prince de Condé. La légende raconte qu'il pensait se réincarner en cheval et voulait des écuries dignes de son rang. A l'époque elles accueillaient 240 chevaux et 150 chiens.

Aujourd'hui elles comptent des chevaux ibériques ainsi que des ânes et des poneys. Un cadre royal pour ces équidés ! Lesquelles savent bien faire leurs cabotins lorsqu'il s'agit de travailler après deux semaines de vacances au pré. Ainsi la leçon de dressage qui a suivi le spectacle montrait la remise au travail de l'un de ces chevaux, lequel n'avait pas vraiment envie de faire des efforts. En dehors de l'aspect pédagogique de cette démonstration, j'ai trouvé vraiment intéressant que le hasard mettant en scène ce cheval peu décidé, montre aux néophytes que le dressage ce n'est pas clé en main, et ce n'est surtout pas aussi facile que certains le prétendent en voyant s'exécuter des chevaux parfaitement dressés.

Nous avons fini notre journée en visitant enfin le Musée du Cheval qui, sur 600 m2, se répartit dans 15 salles présentant plusieurs objets, statues, peintures sous les thèmes suivants : l'évolution du cheval et les différentes races, les progrès techniques de l'équipement du cheval, le rôle du cheval par rapport au pouvoir, à la guerre et à la chasse et les sports et jeux équestres. Ainsi que le cheval dans l'art.


Nous avons d'ailleurs tellement trainé que cela nous a amené jusqu'à la fermeture du musée .... bon trainer, il faut dire qu'il y avait beaucoup de choses à voir, surtout pour des passionnées d'équitation.

En tout cas une très chouette visite, un superbe château, allez le voir il en vaut vraiment la peine !

Pour en savoir plus
Le site du Domaine, ainsi que le blog consacré aux chevaux.

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mercredi 4 septembre 2013

Coeur de Pierre de Gauthier et Almanza

"L'enfant au coeur de pierre était né en Décembre et tout les médecins lors de l'auscultation annoncèrent aux parents qu'ils ne pouvaient entendre les battements du coeur de leur petit garçon. C'est ainsi que tomba l'horrible diagnostic. On leur dit que leurs fils ne sourirait jamais, qu'il n'aimerait personne et serait allergique à tous les sentiments que les autres éprouvaient ; qu'il serait tous les jours de très méchante humeur ; qu'il avait une pierre à la place du coeur !"

... Le même jour nait une petite fille souriante qui à la place du coeur porte un artichaut ... un coeur fragile et généreux ....
Un coeur prêt à aimer ... un petit garçon au coeur de pierre.

Ceux qui s'attendent à voir un album enfant basique, une belle histoire d'amour qui se termine bien comme c'est souvent dans les livres jeunesse, ne manqueront pas d'être surpris par la chute qui m'a complètement abasourdie.
C'est le plus triste mais aussi le plus bel album jeunesse que j'ai lu depuis longtemps (bon j'avoue pas si longtemps parce qu'il y a eu tout de même Mes cheveux fous de Neil GAIMAN et Dave Mc KEAN qui m'avait enchantée) mais dans la mesure où Coeur de Pierre fait plutôt office de BD, cela reste le plus bel album lu en cette année 2013.

Les couleurs en premier lieu sont absolument féériques et bien adaptées au comportement et caractère de chaque enfant, le gris  pour le petit garçon et le rose pour la petite fille, avec un savant mélange lorsqu'ils se rencontrent, c'est ce qui m'a tapé dans l'oeil en premier lieu. Sans oublier toutes les nuances d'or pour l'autre petit garçon de l'histoire, celui au coeur d'or.


Ensuite les dessins sont charmants, maisons penchées et originales, toute étriquée et morne pour la famille de l'enfant au coeur de pierre et toute gonflée d'amour pour celle de la fillette au coeur d'artichaut. Il y a un côté naif charmant dans la représentation des personnages et des tas de petits détails qui appartiennent en propre à chaque famille. Chaque image symbolise parfaitement l'univers des enfants, dépressif et gris d'un côté en opposition avec celui joyeux et rose de l'autre.

Et enfin l'histoire est juste sublime ... qui met en exergue la façon dont un destin peut être interprété et surtout en quoi l'éducation qu'un enfant reçoit peut jouer plus fortement encore sur son avenir. Cela m'a mise en colère d'ailleurs car cela me renvoie forcément à certaines dérives que j'ai pu constater dans mon métier, l'impact des actions de certaines familles sur leurs gamins qui sont petits et se prennent tout en pleine face. L'histoire de ce petit garçon au coeur de pierre est proprement révoltante et m'a fait beaucoup de peine, on ne peut s'empêcher de penser qu'il en aurait été tout autrement si sa famille n'avait pas pris pour argent comptant le pronostic du médecin. Et de la même manière l'histoire de la petite fille est proprement induite par un comportement trop adorateur et protecteur, rendant l'enfant désarmée face aux difficultés de la vie.

Voici donc un album qui traite de sujets importants comme l'éducation, l'impact de celle-ci sur l'avenir des enfants, l'amour enfantin qui peut être très sérieux ... de manière poétique et sans prendre les jeunes lecteurs pour des ânes bâtés, je serais intéressée de le faire en classe pour voir son impact sur mes petites têtes pensantes.
Pour ma part, c'est un véritable coup de coeur. Un album magnifique que je conseille à tous !

Ailleurs
Tigger Lilly (que je remercie de m'avoir fait découvrir cette merveille) ; AcrO ; Olya ...

Ce livre entre dans le Challenge de Vert : My Summer Of (SFFF) Love.



dimanche 1 septembre 2013

Gugusse Sacapuce, triste Gardien de Pàl II


Pauvre Gugusse Sacapuce pourtant investi d'une mission sacrée : protéger ma Pàl contre les dangereux prédateurs venus d'ailleurs .... Hélas pour lui, sa méchante maitresse n'achète plus rien et lit quand même un peu (un peu, pas trop) et du coup ce pauvre toutou se retrouve à garder 6 malheureux livres .... 

Oui vous avez bien lu, je n'ai plus que 6 livres dans ma Pàl, OMG je lis d'avance les commentaires de certains qui ne vont pas manquer de fuser, xD
Ainsi restent, seuls survivants
- Un an dans les airs de Raphaël ALBERT, Jeanne A-DEBATS, Raphaël GRANIER de CASSAGNAC et Johan HELIOT
- L'importance de ton regard de Lionel DAVOUST
- Omale Intégrale II de Laurent GENEFORT
- Rêve de Gloire de Roland WAGNER
- Le Dragon Griaule de Lucius SHEPARD
- Trois soeurcières de Terry PRATCHETT

Et elle ne risque pas de regonfler de sitôt, dans la mesure où je vais devoir ralentir mes achats de livre, que Noël est loin et que malheureusement je ne vais pas aux Utopiales cette année-là (pour cause d'une fête de famille qui aurait pu se faire cet été mais qu'il est tellement mieux de faire en automne, snif ....).

On est loin aussi de mon palmarès de lecture de l'été 2012, ces mois 2013 furent plutôt réduits en terme de livre, j'en aurais presque honte, mais en même temps j'ai eu un emploi du temps plutôt chargé depuis l'arrivée de Trinity, le boulot reprenant là-dessus, cela risque d'être encore plus difficile.

M'attendent encore la rédaction des billets de Coeur de Pierre de GAUTHIER et ALMANZA et de Haut Royaume Le Chevalier de Pierre PEVEL.
Quant aux lectures, je ne programme rien pour Septembre, je suis actuellement dans Orchéron de Pierre BORDAGE mais qui ne m'emballe que modérément et sur Elfes et Dragons l'anthologie Imaginales de 2013.

Quant à Gugusse Sacapuce, je vais lui envoyer mes deux pourvoyeuses de câlins en tout genre pour le consoler (si elles ont du temps à lui consacrer elles sont bien occupées elles aussi .... pauvre pauvre Gugusse Sacapuce ).