J'avais prédit aussi que le post serait un peu plus long ... je m'en excuse d'avance, lol.
Un peu comme Obélix qui est tombé dans la potion magique lorsqu’il était petit, je suis tombée dans la passion chien enfant aussi .. sauf que rien m’y prédestinait … aucun chien dans ma famille et surtout aucun désir d’en posséder un.
On ignore des fois d’où peuvent venir certaines passions … pourquoi me fixer particulièrement sur les chevaux et les chiens alors que mes parents n’éprouvaient pas le moindre intérêt pour ces animaux là ? Voire même ne les appréciaient que modérément ?
Il est certain en tout cas que je me jetais devant la télé dès que passaient Prince Noir, Fury et autre Rintintin …. Sans oublier les livres : particulièrement les Etalons Noirs de Walter Farley et les Six Compagnons de Paul Jacques Bonzon. Et que j’accumulais dossiers, revues et autres livres sur le meilleur compagnon de l’homme.
Je passe sous silence le combat acharné que j’ai du livrer à mes parents pour parvenir à en avoir enfin un, je me souviens que je me promenais sans cesse avec le livre
"Choisir, soigner, dresser son chien" et que régulièrement je leur en montrais des pages : particulièrement celle où l’on voit un père et son fils tenant un mignon petit cocker arriver à la maison et être accueillis par la mère souriante : une belle image de la famille telle que je devais la concevoir à l’époque !
En aparté j’ai le livre là sous les yeux, l’image parait terriblement ringarde lol.
J’ignore qui du livre ou de mon acharnement a eu raison de mes parents mais c’est ainsi qu’un jour de septembre 1984 lors d’une journée Portes Ouvertes de la SPA un petit corniaud de 2 ans est entré dans ma vie. Je l’ai appelé Kafi en hommage au chien des Six Compagnons ( oui car à défaut d’avoir le Berger Allemand de mes rêves – j’ai grandi avec Rintintin et Mabrouk la mascotte de 30 millions d’amis – j’en avais au moins le nom) ce fut mon tout premier chien et il partagea ma vie de collégienne et de lycéenne.
J’aurais des millions d’anecdotes à raconter sur Kafi, petit chien très gentil mais peu éduqué et fugueur qui m’a donné un sacré paquet d’émotions lorsqu’il prenait la poudre d’escampette. Je me revois encore circuler entre les voitures en traversant derrière lui lorsqu’il lui prenait cette envie d’aller voir ailleurs … comment n’avons-nous pas finis l’un ou l’autre ( ou l’un et l’autre) écrasés ou tout de moins renversés demeure un grand mystère ! Pour le reste, s’il ne correspondait pas au chien idéal dont l’image m’était restée en tête, c’était un véritable ami qui me comprenait et était toujours prêt à me tendre sa patte lors de mes chagrins d’adolescente.
Il est mort malheureusement 2 mois avant mon Bac et je me demande encore aujourd’hui comment j’ai pu passer et réussir celui-ci tant j’étais peinée de sa perte.
Comme en cheval, une fois qu’on met le pied à l’étrier, c’est parti pour la vie, j’avais eu mon premier chien et je ne pouvais plus m’en passer. Et le combat contre la fibre maternelle cette fois ci a repris, avec une fois de plus une victoire.
Moi : 2 ; parents : 0 !
Alors Buffalo est entré dans ma vie … je travaillais à cette époque comme bénévole depuis 1 an dans un Refuge pour chiens et chats. Un jour on a trouvé ce jeune chien de 4 mois, jeté du haut du grillage qui entourait la propriété …. Je n’ai jamais su pourquoi un tel chien avait pu être abandonné mais j’ai passé les 11 années suivantes à en remercier les ingrats propriétaires qui m’ont permis de vivre avec ce chien fabuleux.
Il ne payait pourtant pas de mine lorsque je l’ai vu pour la première fois, efflanqué, haut sur pattes, des oreilles de chauve souris …. L’air un peu benêt du jeune chien pas encore à l’aise … et pourtant tellement prometteur ! Je ne suis pas tombée sous le charme immédiatement, je ne m’occupais pas plus de lui que des autres chiens dont j’avais la charge, je ne le regardais pas plus non plus mais c’est lorsque j’ai réalisé que je ne voulais surtout pas qu’il soit adopté aux journées portes ouvertes du Refuge que j’ai su que je l’aimais déjà ….
Et avec lui a commencé l’aventure Club Canin et Agility …
Agility ce mot magique à l’époque … une discipline canine créée en 1977 en Angleterre, présentée pour la première fois en 1978 et parvenue en France en 1988 qui consiste à évoluer avec son chien sur un parcours composé d’obstacles divers : sauts, palissade, tunnels, table, slalom, passerelle … des parcours qui demandent adresse et vitesse, conduite et obéissance …. Une activité qui permet surtout de développer une grande complicité avec son chien.
Je savais intuitivement que ce sport était fait pour Buffalo, restait à trouver LE club qui me permettrait de le pratiquer.
C’est ainsi qu’en septembre 1995 j’ai franchi pour la première fois les portes du Club Canin du Toulois … je ne savais pas alors que j’allais faire partie d’un monde très fermé qui me conduirait au monitorat d’éducation et d’agility, et surtout dans les finales les plus prestigieuses de la discipline que je m’étais choisie.
Buffalo a fait ses premiers pas avec moi dans cette discipline (et de très beaux résultats pour un chien ayant démarré à 4 ans), avant l’arrivée de P’Illinka : mon rêve de petite fille enfin réalisé, mon premier Berger Allemand, mon daemon tant nous étions liées : un vrai coup de foudre à vrai dire lorsque je l’ai vue pour la première fois, toute petite crevette qui se faisait renverser par les frères et sœurs de sa portée mais exhibait de toutes ses dents la force de son caractère et moi m’écriant « c’est elle ! » ; petite boule de poils qui trop petite pour me voir en entier, collait son nez à mes baskets pour me suivre en balade ; chienne adulte qui jamais ne me quittait du regard ….
Et une chienne formidable dans le travail : deux fois Vice Championne de Lorraine, une fois Championne de France des Bergers Allemands, trois Finales du Championnat de France et du Grand Prix de France … et surtout ….. un chien à l’amour absolu, d’une fidélité incroyable.
On dit qu’on ne rencontre qu’une seule fois le grand amour avec un chien … je sais que je l’ai eu avec elle, elle était mon double parfait, mon âme sœur.
Durant tout ce temps là l’aventure Club a continué aussi, de simple adhérente je suis peu à peu devenue monitrice en éducation canine et en agility, je faisais tourner des chiens tous les samedis, apprenant à leurs maîtres comment les conduire et les faire écouter. Une période très prenante mais sympa, tout en poursuivant l’agility en compétition, avec l’envie d’avoir un chien un peu plus Formule 1 et c’est ainsi que Üma est arrivée.
Il est difficile de parler de cette petit chienne sans évoquer son côté facétieux, clown et cabochard, Üma, à l’origine chienne de troupeau (parents champions de France sur ovins et bovins) n’a pourtant jamais voulu travailler sur moutons …. Oh elle tournait bien autour, se couchait au stop mais préférait largement aller sauter les barrières que rassembler ses bêtes bêlantes qu’elle ne regardait même pas …
Non Üma son truc c’est l’agility ….
Et quand j’ai arrêté le Club Canin pour diverses raisons, elle a du compenser en se prenant de passion pour tout ce qui pouvait se sauter ou se grimper : les arbres, les rochers, les meules de foin ….
Pour anecdote, lorsque je suis revenue dans mon Club après 4 ans de sevrage agility, la première chose qu’elle a faite après avoir été lâchée, fut de courir de toutes ses forces sur le terrain où, ô bonheur, l’attendaient haies, slalom et autres merveilles …. Elle n’avait rien oublié. Aujourd’hui à 8 ans, elle fait son petit parcours tous les samedis avec le même bonheur et il ne s’agit pas de l’oublier dans la voiture ! Inutile de dire qu’elle crève de jalousie aussi lorsque je travaille sa nouvelle petite sœur, Epiwi.
En conclusion car il faut bien s’arrêter un jour ….
Ce que je retiens de toutes ces années de sport et de compagnie, c’est que lorsqu’on perd son chien, le fait qu’il ait fini champion de France, qu’il ait fait une carrière dans l’une ou l’autre discipline n’a plus aucune importance, voire même passe rapidement dans les méandres de l’oubli … non ce qui reste à jamais dans la mémoire, c’est l’affection qu’il nous a portée, ce sont ces moments de partage, ces regards échangé ...
C’est Buffalo qui, lors de la tempête de 1999, revient en arrière me prêter sa force pour monter un talus, c’est P’Illinka qui, au seuil de son départ, trouve encore la force de se redresser pour me lancer un dernier regard (image qui me donne à jamais les larmes aux yeux), c’est Üma et sa passion des arbres, des rochers, des sauts, sa joie de vivre et son punch incroyables, c’est Epiwi aussi surnommée Lucifer tant elle est capable de faire 36 000 bêtises à la seconde avec cet air d’ange qui ne se sent absolument pas concerné … ce sont tous ses instants de vie qui restent à jamais ….
Je dédie ce billet à ma chienne P'Illinka qui m'a quittée il y a maintenant 2 ans ... et qui me manque toujours autant.
Un peu comme Obélix qui est tombé dans la potion magique lorsqu’il était petit, je suis tombée dans la passion chien enfant aussi .. sauf que rien m’y prédestinait … aucun chien dans ma famille et surtout aucun désir d’en posséder un.
On ignore des fois d’où peuvent venir certaines passions … pourquoi me fixer particulièrement sur les chevaux et les chiens alors que mes parents n’éprouvaient pas le moindre intérêt pour ces animaux là ? Voire même ne les appréciaient que modérément ?
Il est certain en tout cas que je me jetais devant la télé dès que passaient Prince Noir, Fury et autre Rintintin …. Sans oublier les livres : particulièrement les Etalons Noirs de Walter Farley et les Six Compagnons de Paul Jacques Bonzon. Et que j’accumulais dossiers, revues et autres livres sur le meilleur compagnon de l’homme.
Je passe sous silence le combat acharné que j’ai du livrer à mes parents pour parvenir à en avoir enfin un, je me souviens que je me promenais sans cesse avec le livre
"Choisir, soigner, dresser son chien" et que régulièrement je leur en montrais des pages : particulièrement celle où l’on voit un père et son fils tenant un mignon petit cocker arriver à la maison et être accueillis par la mère souriante : une belle image de la famille telle que je devais la concevoir à l’époque !
En aparté j’ai le livre là sous les yeux, l’image parait terriblement ringarde lol.
J’ignore qui du livre ou de mon acharnement a eu raison de mes parents mais c’est ainsi qu’un jour de septembre 1984 lors d’une journée Portes Ouvertes de la SPA un petit corniaud de 2 ans est entré dans ma vie. Je l’ai appelé Kafi en hommage au chien des Six Compagnons ( oui car à défaut d’avoir le Berger Allemand de mes rêves – j’ai grandi avec Rintintin et Mabrouk la mascotte de 30 millions d’amis – j’en avais au moins le nom) ce fut mon tout premier chien et il partagea ma vie de collégienne et de lycéenne.
J’aurais des millions d’anecdotes à raconter sur Kafi, petit chien très gentil mais peu éduqué et fugueur qui m’a donné un sacré paquet d’émotions lorsqu’il prenait la poudre d’escampette. Je me revois encore circuler entre les voitures en traversant derrière lui lorsqu’il lui prenait cette envie d’aller voir ailleurs … comment n’avons-nous pas finis l’un ou l’autre ( ou l’un et l’autre) écrasés ou tout de moins renversés demeure un grand mystère ! Pour le reste, s’il ne correspondait pas au chien idéal dont l’image m’était restée en tête, c’était un véritable ami qui me comprenait et était toujours prêt à me tendre sa patte lors de mes chagrins d’adolescente.
Il est mort malheureusement 2 mois avant mon Bac et je me demande encore aujourd’hui comment j’ai pu passer et réussir celui-ci tant j’étais peinée de sa perte.
Comme en cheval, une fois qu’on met le pied à l’étrier, c’est parti pour la vie, j’avais eu mon premier chien et je ne pouvais plus m’en passer. Et le combat contre la fibre maternelle cette fois ci a repris, avec une fois de plus une victoire.
Moi : 2 ; parents : 0 !
Alors Buffalo est entré dans ma vie … je travaillais à cette époque comme bénévole depuis 1 an dans un Refuge pour chiens et chats. Un jour on a trouvé ce jeune chien de 4 mois, jeté du haut du grillage qui entourait la propriété …. Je n’ai jamais su pourquoi un tel chien avait pu être abandonné mais j’ai passé les 11 années suivantes à en remercier les ingrats propriétaires qui m’ont permis de vivre avec ce chien fabuleux.
Il ne payait pourtant pas de mine lorsque je l’ai vu pour la première fois, efflanqué, haut sur pattes, des oreilles de chauve souris …. L’air un peu benêt du jeune chien pas encore à l’aise … et pourtant tellement prometteur ! Je ne suis pas tombée sous le charme immédiatement, je ne m’occupais pas plus de lui que des autres chiens dont j’avais la charge, je ne le regardais pas plus non plus mais c’est lorsque j’ai réalisé que je ne voulais surtout pas qu’il soit adopté aux journées portes ouvertes du Refuge que j’ai su que je l’aimais déjà ….
Et avec lui a commencé l’aventure Club Canin et Agility …
Agility ce mot magique à l’époque … une discipline canine créée en 1977 en Angleterre, présentée pour la première fois en 1978 et parvenue en France en 1988 qui consiste à évoluer avec son chien sur un parcours composé d’obstacles divers : sauts, palissade, tunnels, table, slalom, passerelle … des parcours qui demandent adresse et vitesse, conduite et obéissance …. Une activité qui permet surtout de développer une grande complicité avec son chien.
Je savais intuitivement que ce sport était fait pour Buffalo, restait à trouver LE club qui me permettrait de le pratiquer.
C’est ainsi qu’en septembre 1995 j’ai franchi pour la première fois les portes du Club Canin du Toulois … je ne savais pas alors que j’allais faire partie d’un monde très fermé qui me conduirait au monitorat d’éducation et d’agility, et surtout dans les finales les plus prestigieuses de la discipline que je m’étais choisie.
Buffalo a fait ses premiers pas avec moi dans cette discipline (et de très beaux résultats pour un chien ayant démarré à 4 ans), avant l’arrivée de P’Illinka : mon rêve de petite fille enfin réalisé, mon premier Berger Allemand, mon daemon tant nous étions liées : un vrai coup de foudre à vrai dire lorsque je l’ai vue pour la première fois, toute petite crevette qui se faisait renverser par les frères et sœurs de sa portée mais exhibait de toutes ses dents la force de son caractère et moi m’écriant « c’est elle ! » ; petite boule de poils qui trop petite pour me voir en entier, collait son nez à mes baskets pour me suivre en balade ; chienne adulte qui jamais ne me quittait du regard ….
Et une chienne formidable dans le travail : deux fois Vice Championne de Lorraine, une fois Championne de France des Bergers Allemands, trois Finales du Championnat de France et du Grand Prix de France … et surtout ….. un chien à l’amour absolu, d’une fidélité incroyable.
On dit qu’on ne rencontre qu’une seule fois le grand amour avec un chien … je sais que je l’ai eu avec elle, elle était mon double parfait, mon âme sœur.
Durant tout ce temps là l’aventure Club a continué aussi, de simple adhérente je suis peu à peu devenue monitrice en éducation canine et en agility, je faisais tourner des chiens tous les samedis, apprenant à leurs maîtres comment les conduire et les faire écouter. Une période très prenante mais sympa, tout en poursuivant l’agility en compétition, avec l’envie d’avoir un chien un peu plus Formule 1 et c’est ainsi que Üma est arrivée.
Il est difficile de parler de cette petit chienne sans évoquer son côté facétieux, clown et cabochard, Üma, à l’origine chienne de troupeau (parents champions de France sur ovins et bovins) n’a pourtant jamais voulu travailler sur moutons …. Oh elle tournait bien autour, se couchait au stop mais préférait largement aller sauter les barrières que rassembler ses bêtes bêlantes qu’elle ne regardait même pas …
Non Üma son truc c’est l’agility ….
Et quand j’ai arrêté le Club Canin pour diverses raisons, elle a du compenser en se prenant de passion pour tout ce qui pouvait se sauter ou se grimper : les arbres, les rochers, les meules de foin ….
Pour anecdote, lorsque je suis revenue dans mon Club après 4 ans de sevrage agility, la première chose qu’elle a faite après avoir été lâchée, fut de courir de toutes ses forces sur le terrain où, ô bonheur, l’attendaient haies, slalom et autres merveilles …. Elle n’avait rien oublié. Aujourd’hui à 8 ans, elle fait son petit parcours tous les samedis avec le même bonheur et il ne s’agit pas de l’oublier dans la voiture ! Inutile de dire qu’elle crève de jalousie aussi lorsque je travaille sa nouvelle petite sœur, Epiwi.
En conclusion car il faut bien s’arrêter un jour ….
Ce que je retiens de toutes ces années de sport et de compagnie, c’est que lorsqu’on perd son chien, le fait qu’il ait fini champion de France, qu’il ait fait une carrière dans l’une ou l’autre discipline n’a plus aucune importance, voire même passe rapidement dans les méandres de l’oubli … non ce qui reste à jamais dans la mémoire, c’est l’affection qu’il nous a portée, ce sont ces moments de partage, ces regards échangé ...
C’est Buffalo qui, lors de la tempête de 1999, revient en arrière me prêter sa force pour monter un talus, c’est P’Illinka qui, au seuil de son départ, trouve encore la force de se redresser pour me lancer un dernier regard (image qui me donne à jamais les larmes aux yeux), c’est Üma et sa passion des arbres, des rochers, des sauts, sa joie de vivre et son punch incroyables, c’est Epiwi aussi surnommée Lucifer tant elle est capable de faire 36 000 bêtises à la seconde avec cet air d’ange qui ne se sent absolument pas concerné … ce sont tous ses instants de vie qui restent à jamais ….
Je dédie ce billet à ma chienne P'Illinka qui m'a quittée il y a maintenant 2 ans ... et qui me manque toujours autant.
Ah petite coquine ! Ton article m'a fait pleurer ^^
RépondreSupprimerMême si je n'ai jamais eu de chien (et que je ne pense pas en avoir), j'adore. J'adore, car je pense qu'ils sont le complément des chats en fait. Quand ton chat est plutôt indépendant, ton chien, lui a besoin de toi, de ta présence. C'est ça qui me manque avec les chats en fait, surtout que j'en ai toujours eu qui aiment qu'on leur foutent la paix :)
Mais un chien c'est aussi beaucoup de responsabilités, et je ne suis pas certaines de vouloir les prendre. C'est la raison pour laquelle je me cantonne aux chats !
Maintenant, pour l'agility, tu n'en fais plus du tout en compèt ? Tu fais surtout pour que tes chiens travaillent un peu ?
Je connais les coups de foudre avec les animaux. J'ai surtout connu avec mon cochon d'Inde Igloo. Alors certes, c'est moins parlant qu'avec un chien ou un chat, mais on était tous les deux très fusionnels, et sa mort a été une tragédie pour moi.
De toute façon, la perte d'un animal (peu importe lequel) apporte toujours un énorme vide, et seul le temps permet d'apaiser la peine.
En tout cas, très chouette article :)
Merci Marion ^^
RépondreSupprimerOui c'est pour cela que je suis plutôt chien moi car j'aime le fait qu'un être vivant ait besoin de moi, mais il est vrai qu'il faut aussi tenir ses engagements vis à vis d'eux.
Pour l'agility, je ne fais que les entraînements effectivement mais j'ai arrêté les concours, on va dire que j'en avais fait une grosse overdose lol.
eh ben, tu m'a donné d'abord le sourire, puis les larmes aux yeux ! joli articles et jolies photos. La tête d'Uma lorsqu'elle saute l'obstacle, on la sent si contente !
RépondreSupprimerSinon ben oui je comprends tout à fait ce que c'est que d'aimer ses bêtes et de vivre un vrai deuil à chaque fois. J'suis fusionnelle avec mes animaux en plus.
Je n'ai eu qu'une chienne, toujours avec moi, Lila, presque 15 ans, et je crains qu'elle me quitte. Je n'ai que 24 ans, alors j'ai l'impression de l'avoir toujours eu avec moi. Heureusement j'ai aussi mes poules, et surtout ma Cocotte à moi qui me fait de gros calins tout les jours depuis deux ans (trois ?), alors bon je serais pas seule (même si elle aussi elle se fait veille :( )
Ma Lila aurait surement adoré faire de l'agility (je lui faisait faire des tours quand elle était petite) mais bon, faut que la maitresse ait la santé aussi !
Les cockers c'est le mal absolu. *sales bêtes*
RépondreSupprimerBillet très émouvant :)
@Lael, c'est normal d'avoir peur qu'ils nous quittent, 15 ans c'est déjà beau tu as de la chance de l'avoir depuis tant de temps, moi je dois avoir un cercle maudit au dessus de ma tête qui m'interdit d'avoir mes chiens au delà de 11 ans :(
RépondreSupprimer@Twi, cela sent la mauvaise expérience cocker ça xD
La larme à l'oeil pour moi aussi... Comme toi j'ai été passionnée par les chiens quand j'étais gamine, jusqu'au collège, même, où je m'étais découvert une copine dont le père tenait un club d'agility et était l'auteur d'un livre que j'avais lu (ma copine était sur la photo de couverture), et je me souviens qu'une année en colo de vacances j'avais eu le bonheur de conduire moi-même quelques chiens sur un parcours (un peu maladroitement certes, mais total bonheur quand même ^^)
RépondreSupprimerEt pourtant ça n'a jamais été plus loin. Mes parents ont longtemps été très fermes sur la décision de ne pas prendre d'animal de compagnie. Et après, c'est passé...
Mais même si maintenant tout ça est bien loin derrière moi, ça en fait toujours partie, et donc je comprend particulièrement bien les gens qui aiment les chiens.
Donc je suis doublement émue par ton billet très touchant!
(et je ne parle même pas du deuil, j'ai eu beaucoup de mal à accepter celui de ma lapinette, mon premier compagnon à poils, qui loin d'être parfaite m'a pourtant fait pleurer toutes les larmes de mon corps à ma grande surprise - je savais que je serai triste, mais pas à ce point-là - quand elle est partie... j'arrête, mes yeux s'embuent encore plus ^^)
Les deuils sont toujours difficiles à encaisser, même des années après.
RépondreSupprimerJe suis toujours triste quand je repense à Buffalo même si le temps a effacé une grande partie de la douleur.
Par contre pour P'Illinka, il en faudra beaucoup plus, j'ai vraiment du mal à encaisser sa perte, même deux ans après.
Tu reviendras peut être un jour aux chiens, quand tu auras la place et le temps ^^
je crois plutôt que c'est les chats qui ont pris le relais, maintenant, lol ^^
RépondreSupprimerLes chats c'est bien aussi ^^
RépondreSupprimer